Les coups de cœur
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Surtout la nuit
17,06 €ALBUM
Texte : Didier JEAN & ZAD
Illustrations : Laura GIRAUD
À partir de 6 ansVoici une petite fille de 7 ans qui porte un lourd fardeau. Ce qu’elle subit, elle ne peut en parler à personne. Elle aurait trop peur qu’on la traite de menteuse. Et puis, autour d’elle, personne ne comprendrait, il est si gentil... « C’est notre petit secret », lui dit-il, à chaque fois qu’il lui rend visite, la nuit.
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Et c'est quoi la sagesse grand-père ?
17,06 €ALBUM
Texte : Jean-Marie ROBILLARD
Illustrations : Fabien DOULUT
À partir de 8 ansGrand-Aigle et Petit-Castor ont descendu le cours tumultueux de la rivière jusqu’aux rives tranquilles du lac Massawippi. Là, assis au bord de l’eau, sous le ciel piqueté d’étoiles d’une nuit de pleine lune, le vieux sage raconte à son petit-fils la naissance du peuple amérindien, un jour de grande paix, aux premières lueurs du tout premier matin du monde.
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Les Origines du prince Django
22,75 €ALBUM
Texte : Mary ESTRADE
Illustrations : Manuela DUPONT & ZAD
Musique de Django REINHARDT, Naftule BRANDWEIN, André PETITJEAN, Dick RAVENAL & Léon SLABIAK,
ainsi que des morceaux traditionnels klezmer ou russe.
Interprêtés par Mary et Marc ESTRADE / Compagnie du Souffle Aux CordesÀ partir de 6 ans
Ce conte musical nous transporte dans l’univers des Tziganes, hommes et femmes libres qui voyagent en roulottes. Depuis quelques temps, Laurence est triste. Elle n’arrive pas à avoir d’enfant. Malgré la magie et l’aide des femmes âgées qui l’entourent, le bébé ne vient pas. Laurence se rend alors chez Tchouna, la magicienne du camp qui prédit l’avenir avec son « Ragoune ». Celle-ci lui annonce qu’elle aura bien un enfant, mais un enfant différent...
Cet enfant, c’est Django Reinhardt, celui qui deviendra le grand compositeur et guitariste de jazz connu du monde entier.
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Le Petit Bonhomme de buée
17,06 €ALBUM
Texte : Céline PERSON
Illustrations : Carla CARTAGENA
À partir de 5 ansUn matin, en allant à l’école, Arthur dessine sur la vitre de la voiture un petit bonhomme de buée. Ce petit bonhomme, qui n’a pas envie de disparaître, se glisse par la fenêtre restée entrouverte, et rejoint l’enfant dans sa classe. Daphné, en l’apercevant, le dessine à son tour. C’est ainsi que, passant de l’imaginaire d’un enfant à l’autre, il deviendra un petit bonhomme de craie, de sable, de papier et enfin un bonhomme de neige.
Il sait bien qu’il finira par fondre mais qui sait ?
Peut-être deviendra-t-il petit bonhomme de pâte à modeler ? Pour continuer de voir comment vivent les gens, comment passe le temps...Avec son allure de conte de randonnée, ce texte doux et plein d’espoir nous raconte une jolie chaîne de solidarité pour que ce petit bonhomme si fragile ne disparaisse jamais et continue à évoluer pour l’éternité.
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Ma vie en rousse
7,58 €ROMAN ILLUSTRÉ
Texte : Agnès SODKI
Illustrations : Olivier CHÉNÉÀ partir de 8 ans
Mélissa déteste ses cheveux et la couleur de sa peau, trop claire, trop fragile, constellée de taches de rousseur. Même si sa mère trouve que sa fille est la plus belle, Mélissa n’est pas de son avis. Elle préfère la couleur blonde de son amie Jeanne.
Elle ne supporte plus les remarques blessantes de certains enfants, qui ne cessent de se moquer d’elle, voire de l’insulter, tout cela parce qu’elle est rousse.
Car, aujourd’hui encore, ces préjugés ont la vie dure. -
Aux yeux des autres
7,58 €ROMAN ILLUSTRÉ
Texte : Maëva MARQUIGNY
Illustrations : Lucie ALBONÀ partir de 8 ans
Manon et Théo sont des cousins du même âge. Elle habite dans une maison minuscule qu’elle compare à celle d’une poupée, lui dans une grande bâtisse aux airs de château fort. Elle joue au bord d’une mer imaginaire, il a une piscine. Un jour de fin d’été où les deux enfants sont réunis pour la première fois chez Manon, Théo découvre non sans quelques surprises l’univers de sa cousine, et ils passent la journée à jouer à des jeux à la frontière entre réel et imaginaire. Le soir venu, ils sont sur le point de s’endormir sous une tente, quand Théo fait une déclaration qui chamboule Manon : « C’est pas si mal d’être pauvre, finalement... »